Nous sommes très heureux d’avoir pu intervenir pour une première chez BNP Paribas Leasing Solutions à l’occasion d’un séminaire rassemblant le Comité de Direction de la Business Unit Bank Leasing Services et ses managers. La visio-conférence de Philippe Nassif a donné lieu à une vraie mise en action de tous tout en permettant la prise de hauteur souhaitée. Elle portait sur le thème «Amicalement vôtre ! : Une philosophie de la bienveillance exigeante » et a reçu un accueil enthousiaste de la part des participants.
Philosophie
Nous avons eu le plaisir d’intervenir à l’occasion d’une journée de séminaire rassemblant les associés et partenaires de AIA Life Designers. Au programme de ces « regards croisés » : Élisabeth de la Tour avec « L’intelligence collective et l’atelier de Raphaël » et Philippe Nassif avec « Comment retrouver le sens quand tout est bouleversé ? ». Mission accomplie ! Quelques retours pour en attester : « Excellent ! », « Étonné ! Et ça fait du bien. », « Merci ça donne une autre perspective aux choses »…
« Merci à culture&sens pour cette excellente intervention. C’est la troisième année consécutive que nous travaillons ensemble pour notre séminaire annuel et c’est la troisième franche réussite. culture&sens a su répondre à nos attentes avec cette proposition originale. Philippe Nassif a mené de main de maître sa conférence. C’était inspirant, utile, efficace et vivant. Cette prise de parole a satisfait les 65 cadres présents, y compris la Direction Générale, et marqué les esprits. » Marion Bretel, DRH supply chain, achats et R&D chez Cromology qui est une entreprise française d’envergure mondiale, fabriquant et distribuant des peintures décoratives (notamment Tollens) et dont la signature est « L’art des peintures professionnelles ».
Nous intervenons régulièrement chez EDF Commerce sous deux formats : des conférences de culture générale (« Les Parenthèses du vendredi ») et des conférences à vocation managériale / développement personnel / soft skills (« Les petits-déjeuners de l’innovation sociale » plutôt destinés à la communauté des managers). C’est à l’occasion du « Petit-Déjeuner » du mois de juin que nous avons proposé la conférence « La morale, l’éthique, les valeurs ». Ce fut un beau succès ! Pour en savoir plus sur cette conférence ou sur notre offre « Club des managers et dirigeants », cliquer ici.
Un candidat à une élection devra se garder de commencer par affirmer à ses potentiels électeurs : “votez pour moi, car je suis meilleur que vous !” ; quitte à cacher son véritable avis, il aurait plutôt tendance à dire : “je suis comme vous !”. La proximité avec le peuple, réelle ou feinte, est en effet un argument de campagne courant : les individus auraient pour ambition d’être représentés par un des leurs, plus à même de comprendre leurs difficultés et donc de les résoudre. Cependant, même s’il peut être immédiatement séduit par ce type de discours, l’électeur ne peut s’empêcher de se dire que la personne qui lui ressemble le plus n’est peut-être pas la mieux placée pour gouverner, et que son suffrage devrait plutôt être donné à celui qui a le plus de valeur.
Le terme de bonheur désigne souvent l’idée de la satisfaction de tous les désirs. Mais cette satisfaction, de quoi dépend-elle ? Le radical “heur” du mot bonheur renvoie au latin augurium, qui désigne les oracles statuant sur les décisions de la chance. Le bonheur, ce serait donc “la bonne fortune” et il dépendrait entièrement de la chance. Or, qu’est-ce que la chance ?
On m’a donné un rendez-vous. La personne est en retard et ne donne pas de nouvelles. Le temps passe lentement, il est “long”, comme on dit. Étrange manière, d’ailleurs, que de définir le temps par une mesure spatiale. Mais qu’entends-t-on par là ? Que la conscience que nous avons du temps le modifie. Que le fait d’attendre change le temps qui passe. Il ne “passe” plus, il reste. Il s’étire de plus en plus au fur et à mesure de mon attente. Mon présent est tout entier tendu vers le futur, et n’a plus de qualité propre. Il s’alourdit du poids de mon avenir.
Le mythe de Prométhée guide l’image que l’homme se fait de son rapport à la nature : ses manques constitutifs l’obligent à produire des outils, qui le conduisent à une maîtrise toujours plus grande de son environnement. Mais ce mythe prend un sens bien différent selon qu’on l’interprète avec un point de vue antique (l’art divin doit permettre à l’homme de s’insérer harmonieusement dans le cosmos) ou moderne (avec l’art l’homme devient l’égal des dieux et a pour vocation de dominer la nature). Le retournement moderne, lié à la révolution technico-scientifique du XVIIème siècle, a profondément modifié la relation entre l’homme et la nature, et par là aussi bien la définition de la nature que celle de l’homme.