« Cette intervention de grande qualité s’inscrit dans le mode de management collaboratif que je souhaite impulser au sein de mes équipes. C’est une première brique apportée au management 2.0 que nous commençons à développer ». Frédéric Sarrazin, Directeur des Opérations Multicanal (Marché des particuliers) à la Direction Commerce d’EDF.
Pour la deuxième année consécutive, nous sommes intervenus en séminaire de rentrée à l’École des Hautes Études de la Décision qui a une noble ambition : former des managers en mettant l’accent sur ce qu’on appelait, dans le temps, « les Humanités ». Cette idée de remettre au cœur de la formation la culture générale et l’humain est pleinement en adéquation avec la démarche de culture&sens.
À l’occasion des Universités d’été des associés de Deloitte, qui s’est déroulée du 27 au 29 août 2014, nous sommes intervenus à cinq reprises sur trois thèmes distincts :
Ce n’est pas nous qui le disons mais François Duvergé, spécialiste de la question. Il a même écrit un livre sur le sujet : « L’art du management, en finir avec les idées reçues ». Nous ne pouvons qu’applaudir des deux mains, nous qui avons développé une démarche que nous avons appelée le management par l’art. François Duvergé s’exprime à ce sujet dans Good Morning Business sur BFM. Pour découvrir cette intervention pleine de sens, c’est ici que ça se passe. Et pourquoi Est-ce si important ? Parce que les entreprises qui ont les meilleures résultats sont celles qui ont le meilleur management.
Cet article du Figaro du 11 décembre 2013 en est une nouvelle illustration, le regard sur le travail, le temps de travail, l’efficacité, l’équilibre vie personnelle / vie professionnelle est en pleine évolution. Le présentéisme est de plus en plus perçu comme contre-productif. Cela va de pair avec le développement du télétravail, la flexibilité des horaires et aussi l’épanouissement des salariés. Quand 71 % des cadres disent éprouver des difficultés à mener de front vie familiale et professionnelle, il est sans doute nécessaire de prendre des mesures.
L’article ci-dessous, paru dans la rubrique santé du Figaro, nous intéresse tout particulièrement parce qu’il fait écho à une conférence passionnante de culture&sens : « Le cerveau, émotion ou raison ? ». On a longtemps cru que la raison était ce qui guidait nos actes mais les scientifiques mettent maintenant en évidence le rôle majeur des émotions dans nos décisions et nos actions. La prise en compte de l’impact des émotions est capital en entreprise tout particulièrement d’un strict point de vue managérial.
Dan Pink, ex-collaborateur d’Al Gore au temps de sa vice-présidence, a réalisé une intervention TED (*), sur la motivation au travail. Il en ressort que, sur la base d’études scientifiques et de cas concrets, les anciennes méthodes de motivation qui reposent, pour faire simple, sur le célèbre duo « carotte et bâton » ne fonctionnent que dans un nombre de cas limité. Pour les fonctions qui demandent de la créativité, de l’audace et de la capacité à réfléchir, il s’avère que ces méthodes auraient même plutôt un effet inhibant.
culture&sens est cité dans un article intitulé « PepsiCo cultive le bien-être de ses salariés » du numéro du 21 février de l’hebdomadaire des ressources humaines, Entreprises & Carrières. Cet article a été publié dans la rubrique « Pratiques », qui a pour vocation de mettre en avant les bonnes pratiques des entreprises. Il ressort notamment de cet article, reproduit in extenso ci-dessous, que selon la DRH de PepsiCo France, miser sur les salariés permet de créer une croissance durable.
En collaboration avec Radio France, Le Monde a mené une vaste enquête sur le thème « Quel travail voulons-nous ? ». Les résultats en sont analysés dans un entretien avec la sociologue Dominique Méda, mené par Anne Rodier et publié dans le supplément Economie du journal Le Monde en date du 24 janvier 2012. Vous trouverez ci-dessous ce qui nous a paru en être les éléments clefs.
Dans Le Monde, en date du dimanche 18/lundi 19 décembre 2011, est paru cet excellent article de Rémi Barroux. Il y est mis en évidence le fait qu’une étude de l’OCDE s’inquiète du coût économique de ces nouvelles maladies liées à la précarisation du travail.
Sur fond de crise économique, de mondialisation et de nouvelles organisations du travail, la santé mentale des travailleurs se dégrade. Tel est le constat de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) pointé dans une étude publiée le mercredi 14 décembre, « Mal être au travail ? Mythes et réalités sur la santé mentale au travail ».
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