Il y a 567 parutions à l’occasion de cette rentrée littéraire. Une rentrée un peu moins riche donc que la précédente (581). Les domaines français (381 contre 394) et étrangers se répartissent la baisse de la production. Les premiers romans ont, en revanche, le vent en poupe avec 94 romans contre 81 l’an passé. Des noms vous sont familiers, voire trop familiers. D’autres méritent que vous feuilletiez ou achetiez et lisiez. Vous ne pourrez tout lire, alors retenez quelques titres et surtout ce que les pages renferment. Voici quelques propositions. Ce sont les coups de cœur de notre critique littéraire, Norbert Czarny. Il les attribue début septembre pour animer cette présentation qu’il donne et redonne chaque année chez nombre de nos clients.
Littérature
En 1959, soit pas même vingt ans après l’humiliation de l’Occupation, et un an après le retour au pouvoir du Général de Gaulle, un petit-fils de rabbin polonais élevé à Buenos Aires et un fils d’immigrés italiens grandi dans le faubourg St-Antoine, bref deux Français de fraîche date dans une France humiliée et prise par le doute, créent une bande dessinée destinée aux garçons de dix ans.
Il y a 581 parutions à l’occasion de cette rentrée littéraire. Une rentrée plus riche donc que la précédente (560). C’est le domaine français qui concentre l’augmentation de la production (390 contre 363). Les premiers romans, en particulier, ont le vent en poupe avec 81 romans contre 66 l’an passé. Des noms vous sont familiers, voire trop familiers. D’autres méritent que vous feuilletiez ou achetiez et lisiez. Vous ne pourrez tout lire, alors retenez quelques titres et surtout ce que les pages renferment. Voici quelques propositions. Ce sont les coups de cœur de notre critique littéraire, Norbert Czarny. Il les attribue début septembre pour animer cette conférence qu’il donne et redonne chaque année chez nombre de nos clients.
Il y a 560 parutions à l’occasion de cette rentrée littéraire, un peu plus compacte que la précédente (589), qui s’annonce très “ouverte”. Aucun scandale en vue mais aucune parution exceptionnelle non plus. Des noms vous sont familiers, voire trop familiers. D’autres méritent que vous feuilletiez ou achetiez et lisiez. Vous ne pourrez tout lire, alors retenez quelques titres et surtout ce que les pages renferment. Voici quelques propositions, voire quelques idées de cadeau pour ne pas sombrer dans la facilité du Goncourt sous le sapin à l’approche de la dernière ligne droite avant Noël. Ce sont les coups de cœur de notre critique littéraire, Norbert Czarny. Il les attribue début septembre pour animer cette conférence qu’il donne et redonne chaque année chez nombre de nos clients.
Il existe depuis de nombreuses années au siège social de Saint Gobain, qui s’appelle Les Miroirs, un rendez-vous culturel récurrent intitulé les « Mardis des miroirs ». C’est dans ce cadre que nous intervenons ponctuellement, comme le 21 septembre sur le thème « Beat Generation – Ceux qui bouleversent le monde de l’après-guerre ». Cette intervention a été programmée en écho à l’expo sur le sujet au Centre Pompidou. L’originalité de la démarche de Saint Gobain est d’inviter à ces rendez-vous non seulement les salariés mais aussi les retraités du groupe et ses actionnaires. Le grand amphithéâtre était bien rempli, une centaine de personnes étaient présentes.
Vous avez pu les voir sur les tables des libraires depuis fin août. 589 romans en tout, dont 393 français et 68 premiers romans. Des noms vous sont familiers, voire trop familiers. D’autres méritent que vous feuilletiez ou achetiez et lisiez. Vous ne pourrez tout lire, alors retenez quelques titres et surtout ce que les pages renferment. Voici quelques propositions voire quelques idées de cadeau pour ne pas sombrer dans la facilité du Goncourt sous le sapin à l’approche de la dernière ligne droite avant Noël. Ce sont les coups de cœur de notre critique littéraire, Norbert Czarny. Il les attribue début septembre pour animer cette conférence qu’il donne et redonne chaque année chez nombre de nos clients.
Vous avez pu les voir sur les tables des libraires depuis le 21 août. Des noms vous sont familiers, voire trop familiers. D’autres méritent que vous feuilletiez ou achetiez et lisiez. Voici quelques propositions mais d’abord un petit repère : 607 romans en tout, dont 404 français. Vous trouverez 75 premiers romans. Mais que signifient ces chiffres ? Vous ne pourrez tout lire, alors retenez quelques titres et surtout ce que les pages renferment.
Ils sont sur les tables des libraires depuis le 22 août, voire avant. Certains sont tirés en nombre, d’autres portent les espoirs de leur auteur (et de leur éditeur !) : ce sont les romans de la rentrée. 555 vont paraître jusque la fin octobre ; beaucoup de premiers romans, des livres surexposés et d’autres cachés dans l’ombre.
Oublions les chiffres, retenons quelques titres et surtout ce que les pages renferment.
Ils sont sur les tables des libraires depuis le 20 août. Certains sont tirés à 200 000 ou à 120 000 exemplaires, d’autres bénéficient d’un premier tirage, plus modeste, de quelques milliers : ce sont les romans de la rentrée. Plus de 600 vont paraître jusque la fin octobre ; beaucoup seront oubliés, certains seront surexposés. Oublions les chiffres, retenons quelques titres et surtout ce que les pages renferment.
Les gros coups de coeur
Peste & Choléra (Patrick Deville, Le Seuil). Yersin appartient à la bande de Pasteur. Il a étudié avec le grand médecin puis a découvert le bacille de la peste. Mais pas seulement. Il a navigué entre les Philippines et l’Indochine, fondé le site de Dalat, découvert les vertus du caoutchouc, transformé son havre indochinois en paradis fécond. Yersin était un encyclopédiste curieux de tout, inventif, sans cesse sur la brèche. L’élégant roman de Deville est une sorte d’écho à Kampuchéa qu’on avait pu lire l’an passé.
Depuis le 18 août, vous avez trouvé beaucoup de « nouveaux livres » sur les tables des libraires. Certains bénéficient de gros tirages, d’autres sont des promesses ou des bouteilles jetées à la mer. 654 dont 435 romans français sont parus jusqu’à fin octobre ; beaucoup seront oubliés, certains seront surexposés. Oublions les chiffres, sortons des sentiers battus et « coupons » le raffut médiatique, pour porter un coup de projecteur, de façon subjective et passionnée, sur des auteurs qui comptent et d’autres, qui pourraient compter.