Quasiment depuis la naissance de l’Intelligence Artificielle (IA) dans les années 50, une opposition sévit entre deux grandes écoles : l’approche symbolique et l’approche connexionniste. Elles partagent un même but, celui de l’IA, c’est à dire, créer des logiciels qui ont des comportements aussi intelligents que possible. Pourtant, elles constituent deux directions très différentes, deux visions différentes de l’intelligence, et par extension, deux visions différentes de l’IA.
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On est toujours le barbare de quelqu’un ou, pour le dire avec Montaigne, “chacun appelle barbarie ce qui n’est pas dans son usage”. Mais à partir de quel moment, de quel seuil d’incommunicabilité ou de différence, celui qui paraît autre devient radicalement différent de soi ? Dans toutes les sociétés humaines, on peut se percevoir comme similaire ou différent d’autrui, bien qu’à des degrés et des intensités variables. Toute société est formée par des différences culturelles en son sein (des différences de classe, de sexe, de “race”, générationnelles, des cultures d’organisation, des cultures de terroir).
Although both the cinema and the news media regularly depict the President of the United States as all powerful, Mr. Tips discusses whether the American President is really the most powerful man in the World. With the recent election of Donald J. Trump as the 45th President of the United States and the departure of Barack Obama from that office, now is the perfect time to explore that unique American political structure of institutions intended by its Founders to limit the growth of the Federal government and prevent it from ever becoming as tyrannical as Great Britain had seemed to be in the late 18th Century. The political institutions of the United States were created with the then-recent experiences of the Revolutionary War in mind. The goal was to prevent the Federal government from ever becoming all-powerful and especially to prevent the Head of State from ever becoming a dictator with King-like powers.
« Ignorance is not a virtue » c’est notamment par ces mots que Barack Obama ponctue son discours lors de la cérémonie de remise des diplômes de l’université Rutgers. La presse s’est fait écho de cette prise de parole pour sa portée politique face à Donald Trump. Ce qui nous intéresse, nous, va bien au-delà que cette habile raillerie de l’homme à la chevelure improbable et à la bouche en cul de poule.
Le 5 août 2016 s’ouvriront les Jeux Olympiques à Rio de Janeiro. Qu’imagine-t-on lorsqu’on pense à cette ville ? Les plages d’Ipanema et de Leblon, celle de Copacabana et ses trottoirs en céramique noire et blanche signés Oscar Niemeyer, les surfeurs traversant la rue, l’hôtel où descendirent Sartre et Beauvoir dans les années 1960… La face riante de cette cidade maravilhosa, cette ville merveilleuse, comme le désigne l’hymne officiel.
Dès 8h, certains sont souriants, alertes et de bonne humeur ; ils font du café, s’agitent, lisent leurs mails, bref, ils sont très éveillés… D’autres, au contraire, essaient, après plusieurs tentatives, de se lever péniblement pour arriver au bureau avant 9h ; d’une humeur souvent massacrante, ils se précipitent sur la machine à café pour pouvoir affronter la “matinalité” des premiers ! Il nous est tous arrivé un jour ou l’autre de nous être senti “agressé” par quelqu’un très en forme, le matin ou le soir, alors que nous ne pensions qu’à dormir. Pourquoi une telle différence entre les gens du matin et les gens du soir ?
De nombreux sondages nous indiquent régulièrement que les Français sont les champions du pessimisme. Par exemple, la France se classe systématiquement parmi les pays les plus négatifs dans le Global barometer of hope and happiness réalisé dans 54 pays par BVA-Gallup International, et ce, devant des pays en guerre tels que l’Irak ou l’Afghanistan. En effet, seuls 18 % des Français interrogés dans le cadre de cette étude pensaient que l’année 2014 serait meilleure que 2013 contre… 50 % en moyenne dans le monde. De tels chiffres invitent à s’interroger sur l’existence d’une éventuelle prédisposition culturelle des Français au mal-être.
Une imprimante 3D est une machine qui produit un objet physique à partir d’un plan sur un ordinateur. Quand on parle d’impression 3D, on est souvent envahi par deux sentiments opposés : d’une part, le sentiment qu’il s’agit d’une nouveauté radicale, disruptive et d’autre part, d’un léger sentiment de déjà-vu.
Parmi les nouvelles conférences que nous ajoutons régulièrement à notre offre, il en est une qui « booste » particulièrement les participants : » 1 tour du monde, 2 femmes, 14 mois… une folie ? ». Sandra nous fait partager 14 mois autour du monde à la rencontre de jeunes femmes qui réalisent leurs rêves malgré des situations parfois difficiles. Dans une prison, un désert, un bidonville, elles concrétisent des projets et prouvent que le bonheur ne répond à aucune règle, il est comme on le décide. Portraits et anecdotes retracent ce périple extraordinaire qui est aussi l’histoire d’un apprentissage.
La triple catastrophe – tremblement de terre, tsunami, crise nucléaire de Fukushima – qui a frappé le Japon le 11 mars 2011 et la présentation qui en a été faite par les médias français ont contribué à confirmer deux idées communes dans la perception que nous avons de ce pays. D’un côté, le Japon nous apparaît régulièrement victime d’une nature violente. De l’autre, nous avons été frappés par la réaction des Japonais, leur organisation et leur discipline.