Abraham Lincoln has been elevated almost to the status of a political deity in American history, a deity who “preserved the Union” and “freed the slaves.” He was a remarkable man born in 1809 to a poor family living in a one-room log cabin in Kentucky. His parents moved the family to Indiana and then Illinois so that they could live in a “free” State and escape from the disease-plagued Kentucky. Astute, strong, tall (1.93 m), and hard-working, Lincoln was an avid reader and self-educated. He earned a living splitting wood, then invested in a general store before entering politics and the legal profession.
Pour se faire une idée
Quelques extraits de certaines de nos fiches souvenir pour se faire une idée
Parmi les nouvelles conférences que nous ajoutons régulièrement à notre offre, il en est une qui « booste » particulièrement les participants : » 1 tour du monde, 2 femmes, 14 mois… une folie ? ». Sandra nous fait partager 14 mois autour du monde à la rencontre de jeunes femmes qui réalisent leurs rêves malgré des situations parfois difficiles. Dans une prison, un désert, un bidonville, elles concrétisent des projets et prouvent que le bonheur ne répond à aucune règle, il est comme on le décide. Portraits et anecdotes retracent ce périple extraordinaire qui est aussi l’histoire d’un apprentissage.
La triple catastrophe – tremblement de terre, tsunami, crise nucléaire de Fukushima – qui a frappé le Japon le 11 mars 2011 et la présentation qui en a été faite par les médias français ont contribué à confirmer deux idées communes dans la perception que nous avons de ce pays. D’un côté, le Japon nous apparaît régulièrement victime d’une nature violente. De l’autre, nous avons été frappés par la réaction des Japonais, leur organisation et leur discipline.
À l’origine, n’étaient qu’un modeste moulin à vent et une maison de meunier construits sur une hauteur entourée de marécages. C’est en ce lieu inhospitalier mais giboyeux et à l’écart de la très remuante capitale que Louis XIII fait construire en 1623 un modeste pavillon de chasse, surnommé alors le “chétif château” et plus tard “le château de cartes”.
Au départ, il n’y avait pas de ville sur ce haut plateau au centre du Brésil, mais seulement le « cerrado », la savane, qui couvrait tout. Dès les années 1920, naît le projet d’y installer une nouvelle capitale pour le Brésil, capitale administrative qui rééquilibrerait le peuplement vers le centre du pays. Le projet est réalisé par le président Juselino Kubitschek qui lance la construction de Brasilia en 1956. Il veut une capitale construite sur un plan idéal et qu’elle reflète le rêve d’un État bien gouverné. Pour réaliser ce grand projet, il fait appel à un tandem qu’il connaît bien et avec qui il a souvent travaillé quand il était maire de Belo Horizonte : Lucio Costa, urbaniste et Oscar Niemeyer, architecte. Le premier va principalement concevoir les plans de la ville, le second va dessiner la plupart de ses édifices monumentaux.
Voir le beau dans l’ordinaire est un courant qui nous vient de loin. Il est caractérisé par le réalisme, les scènes de genre, les natures mortes, le monde des humains et de leur entourage immédiat qui deviennent le sujet principal du tableau en lieu et place de la grande tradition noble de la peinture d’histoire et religieuse. C’est le petit peuple représenté dans sa vie de tous les jours autour des restes des repas…
Ils sont sur les tables des libraires depuis le 20 août. Certains sont tirés à 200 000 ou à 120 000 exemplaires, d’autres bénéficient d’un premier tirage, plus modeste, de quelques milliers : ce sont les romans de la rentrée. Plus de 600 vont paraître jusque la fin octobre ; beaucoup seront oubliés, certains seront surexposés. Oublions les chiffres, retenons quelques titres et surtout ce que les pages renferment.
Les gros coups de coeur
Peste & Choléra (Patrick Deville, Le Seuil). Yersin appartient à la bande de Pasteur. Il a étudié avec le grand médecin puis a découvert le bacille de la peste. Mais pas seulement. Il a navigué entre les Philippines et l’Indochine, fondé le site de Dalat, découvert les vertus du caoutchouc, transformé son havre indochinois en paradis fécond. Yersin était un encyclopédiste curieux de tout, inventif, sans cesse sur la brèche. L’élégant roman de Deville est une sorte d’écho à Kampuchéa qu’on avait pu lire l’an passé.
Doudous, cahiers d’enfance, chaussures démodées, moulins à café manuel, magnétoscope, walkman, dictionnaires des années 90 voire 80… Pourquoi certains individus ont-ils tendance à “tout” garder autrement dit pourquoi sont-ils amenés de façon récurrente à garder des objets encore utilisables alors qu’ils n’en ont plus l’utilité et qui ne valent pas, à leurs yeux, la peine d’être vendus ?
Depuis le 18 août, vous avez trouvé beaucoup de « nouveaux livres » sur les tables des libraires. Certains bénéficient de gros tirages, d’autres sont des promesses ou des bouteilles jetées à la mer. 654 dont 435 romans français sont parus jusqu’à fin octobre ; beaucoup seront oubliés, certains seront surexposés. Oublions les chiffres, sortons des sentiers battus et « coupons » le raffut médiatique, pour porter un coup de projecteur, de façon subjective et passionnée, sur des auteurs qui comptent et d’autres, qui pourraient compter.
Héritée des manuels scolaires d’histoire de la IIIe République, l’expression “Guerre de Cent ans” occupe une place étrange dans la mémoire collective et la culture générale historique en France. Connaît-on pour autant l’importance cruciale de cette épopée qui scelle, à la fi n du Moyen Âge, le destin de la France et de l’Angleterre ? En arrière-plan d’un très long conflit diplomatique et militaire qui a pris sans cesse les allures d’un duel franco-anglais, se cache le double roman des origines de la nation française et de la nation anglaise, sans lequel Jeanne d’Arc et sa brève aventure légendaire, entre 1429 et 1431, n’auraient jamais existé.