Quelques extraits de notre belle conférence sur ce sujet, par Élisabeth de la Tour, historienne de l’art (École du Louvre), conférencière et coach.
Pour se faire une idée
Quelques extraits de certaines de nos fiches souvenir pour se faire une idée
Qu’avons-nous reçu en héritage ? Que souhaitons-nous transmettre et comment ? Qu’aimerions-nous partager et incarner ? Aujourd’hui, de nombreux parents et enseignants se sentent irrités, inquiets, démunis ou défiés, parfois remis en cause et souvent déstabilisés par le comportement des enfants et des adolescents, bien éloigné de ce qui leur a été inculqué. Dans un monde qui se transforme tellement vite, avec des enfants dont les modèles et les modes de communication sont si différents de ceux avec lesquels nous nous sommes construits, est-ce ce que nous voulons transmettre qui doit changer ou est-ce sur notre manière de transmettre qu’il faut nous interroger ?
Attention, emmenez votre maillot de bain (enfin surtout en été) : 30% de la superficie de la ville est occupée par l’eau. Stockholms Kommun, la municipalité de Stockholm, compte 962 154 habitants, répartis sur 14 îles. Lesquelles sont reliées par 57 ponts. Un nombre si élevé, qu’un surnom ironique de la Vieille Ville de Stockholm est « la ville entre les ponts ». Mais cela n’est rien comparé au Grand Stockholm, le Stockholms Läns, mettons la Région Stockholm en termes français, qui rassemble elle non seulement 2 135 612 habitants sur 6500 km2 mais aussi… 24 000 îles.
Peut on encore aimer Mona Lisa alias La Joconde aujourd’hui ? Le tableau le plus célèbre du monde placé derrière une vitre blindée au Louvre semble bien petit, isolé et sombre face aux gigantesques Noces de Cana de Véronèse. Pourquoi fascine-t-il ? Vient-on au Louvre pour l’admirer ou pour s’admirer à coté d’elle lors d’une séance de photos ? Dans le who’s who d’Andy Warhol, la Joconde, 30 fois reproduite car 30 fois valent mieux qu’une dit le titre (Thirty are better than one) figure en bonne place au coté de Marylin ou de Jackie Kennedy.
Le “bio”, est en fait “la bio”, car ce terme fait officiellement référence à “l’agriculture biologique”, c’est-à-dire à un mode de production et de transformation de produits alimentaires “respectueux de l’environnement, des cycles naturels et du bien-être animal”. Ce label, encadré au niveau européen, implique tous les maillons de la chaîne : les producteurs, les transporteurs, les transformateurs et les distributeurs. Le contrôle des acteurs de la filière est effectué annuellement par des organismes certificateurs indépendants placés sous le contrôle de l’INAO (Institut national de l’origine et de la qualité). C’est, de très loin, la filière de qualité la plus contrôlée actuellement en France (AOC, IGP, Label Rouge…).
“Ô Tempora ! Ô Mores !” (Ô temps ! Ô mœurs !) s’indignait Cicéron, il y a deux mille ans. S’il déplorait déjà le déclin des bonnes manières, c’est qu’elles sont anciennes. Mais d’où viennent-elles ? Pourquoi existent-elles ? Elles servent de feux rouges, de panneaux de signalisation aux échanges sociaux : elles servent à éviter que les désirs des uns se fracassent contre les perceptions des autres. Ou, dit autrement, si elles sont un lubrifiant, elles sont aussi un garde-fou, voire selon certains un carcan. Et elles sont encore la preuve des élégances et l’exhibition des vanités.
Quasiment depuis la naissance de l’Intelligence Artificielle (IA) dans les années 50, une opposition sévit entre deux grandes écoles : l’approche symbolique et l’approche connexionniste. Elles partagent un même but, celui de l’IA, c’est à dire, créer des logiciels qui ont des comportements aussi intelligents que possible. Pourtant, elles constituent deux directions très différentes, deux visions différentes de l’intelligence, et par extension, deux visions différentes de l’IA.
Il y a 567 parutions à l’occasion de cette rentrée littéraire. Une rentrée un peu moins riche donc que la précédente (581). Les domaines français (381 contre 394) et étrangers se répartissent la baisse de la production. Les premiers romans ont, en revanche, le vent en poupe avec 94 romans contre 81 l’an passé. Des noms vous sont familiers, voire trop familiers. D’autres méritent que vous feuilletiez ou achetiez et lisiez. Vous ne pourrez tout lire, alors retenez quelques titres et surtout ce que les pages renferment. Voici quelques propositions. Ce sont les coups de cœur de notre critique littéraire, Norbert Czarny. Il les attribue début septembre pour animer cette présentation qu’il donne et redonne chaque année chez nombre de nos clients.
Texte de la fiche souvenir d’une conférence donnée le 6 juillet à midi, quelques heures avant le 1/4 de finale contre l’Uruguay.
Le premier match de l’équipe de France se déroule le 1er mai 1904 au stade du Vivier d’Oie, sur le terrain du Racing Club de Bruxelles, contre la Belgique devant 1 500 spectateurs pour un score de 3-3. Louis Mesnier est le premier buteur de l’histoire de l’équipe de France. La sélection est faite par l’USFSA, l’Union Française de Sports Athlétiques. La Fédération Internationale de Football Association (FIFA) sera fondée quelques jours plus tard, le 21 mai, à Paris. L’histoire des Bleus est un long voyage où le plus beau a côtoyé le plus triste.